je choisis mon carrelage
1/ je le mets où d’abord ?
Si c’est pour le sol de ma cuisine, je vise tout ce qui résiste aux chutes de casseroles et aux taches d’huile, genre grès cérame émaillé ou marbre reconstitué. Pour mon entrée, je tente les carreaux de ciment, l’ardoise ou la terre cuite à condition de les imperméabiliser régulièrement avec un produit adapté. Les galets, c’est pour la salle de bain. Les faïences, mosaïques de marbre, zelliges, pates de verre… pour les murs !
2/ je pense à la pose
Pose droite ? Je peux choisir n’importe quelle forme de carrelage. Alternée ? Je vais privilégier les carreaux rectangulaires. En diagonale ? J’opte pour du carré. Si je veux donner un sentiment d’espace, je choisis un format XXL et je me décide pour des joints invisibles.
3/ j’achète la bonne quantité
Pour connaître le nombre de carreaux dont j’ai besoin, je note sur une feuille papier la superficie de ma pièce. Facile, je multiplie sa largeur par sa longueur. Une fois que j’ai mon chiffre, je multiplie cette superficie par le nombre de carreaux au m2. Pas de panique, c’est marqué sur la boite. Après j’ajoute 5% de carreaux supplémentaires et ça y est, je peux remplir mon caddie.
4/ encore plus simple
Pour le nombre de boite, c'est l'inverse. Je regarde la surface couverte par une boite (c'est marqué dessus) et je divise la superficie de ma pièce par la superficie donnée sur la boite. J'arrondis au nombre supérieur : c'est le nombre de boites qu'il me faut.
Difficulté :
Le truc de lilibricole
Pour faire le bon choix, je me fie au classement UPEC marqué sur l’emballage. Il m’indique la résistance des carreaux que j’achète.
Un geste pour l'environnement
Je réduis mon empreinte écologique et j’évite d’acheter du carrelage de provenance lointaine.