je choisis ma peinture
1/ j’évalue mes besoins
Si je repeins la salle de bain ou la cuisine, j’opte de préférence pour une peinture glycérophtalique (à base d’huile). Comme ça je peux passer un coup d’éponge sans que la couleur perde de son éclat. C’est pas mal aussi dans les escaliers : les petits doigts sur le mur, ça fait tâche ! Pour mon salon ou ma chambre, je peux tenter l’acrylique (à base d’eau). Elle sèche vite et elle ne sent (presque) rien.
2/ j’hésite entre mat et satiné ?
Je joue la carte de la prudence. Mes murs sont pas nickel chrome ? J’opte pour du satiné qui masque les petits défauts et se nettoie facilement à l’éponge. J’ai envie d’un rendu velours, mais promis, je m’appuie pas sur les murs ? J’ose le mat qui craint les marques et les tâches. J’ai une surface impec et je veux la jouer pop ? Je tente la laque brillante. J’oubliais le plafond ! Mat bien sûr.
3/ je veux faire de l’effet
Tadelakt, patine à l’ancienne, finition métal… j’ai le choix de ma déco. Soit je me penche sur les produits prêt-à -l’emploi qui se posent facilement au pinceau, à la taloche ou à la brosse (tout est écrit sur l’emballage). Soit je tente l’enduit de base que je colore moi-même avec des pigments. Mais là , je fais des essais sur un bout de contreplaqué avant de me lancer.
Difficulté :
Le truc de lilibricole
Je fais des économies : j’achète un gros pot de 5 litre plutôt de 5 pots d’un litre et surtout je me fais un pot échantillon pour les retouches.
Un geste pour l'environnement
Je privilégie les peintures qui portent la marque NF environnement ou l’Ecolabel européen : elles sont nettement moins polluantes.